Comment gagner la course à l’efficacité opérationnelle grâce à la Data ?
L’efficacité opérationnelle s’impose comme un impératif stratégique pour les banques en 2025.
Entre pression concurrentielle, exigences réglementaires accrues et attentes clients en constante évolution, les établissements bancaires doivent accélérer leur transformation. La donnée, au cœur de cette mutation, devient le levier central de réorganisation et de performance.

Un frein majeur à l’efficacité opérationnelle :
L‘un des principaux défis rencontrés dans l’amélioration de l’efficacité opérationnelle repose sur l’organisation de l’information par silos, cloisonnés entre les différents départements de l’établissement bancaire.
Les services métiers et informatiques communiquent difficilement et peinent à travailler ensemble de manière agile, ce qui peut ralentir la prise de décision et réduire l’efficacité des processus.
47% des salariés ont ainsi des difficultés à trouver les informations dont ils ont besoin pour effectuer leurs tâches.
Synergie et collaboration : les 2 clés du succès
Une meilleure accessibilité de la donnée doit être garantie afin d’autonomiser les métiers et de réduire les frictions pour permettre une collaboration plus fluide.
Les équipes métiers accèdent ainsi aux informations nécessaires en temps réel, sans dépendre exclusivement des services techniques, ce qui accélère le processus de décision et améliore la réactivité globale.
L’automatisation, un levier incontournable
Face à la complexité croissante des processus internes, l’automatisation – via l’IA et le machine learning – s’affirme comme un axe structurant. Elle permet de :
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Gérer à grande échelle les transactions ou les contrôles de conformité,
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Réduire les erreurs humaines,
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Diminuer les coûts d’exploitation.
Mais attention : automatiser ne veut pas dire désincarner. La maîtrise technologique et la gouvernance humaine restent indispensables pour garantir sécurité, conformité… et confiance.
Un enjeu de maîtrise et sécurité
Cette automatisation doit cependant s’accompagner d’une véritable maîtrise des intelligences artificielles et d’une liaison efficace entre les équipes techniques et les métiers. Il est essentiel d’assurer la conformité et la sécurité des données, notamment en évitant d’externaliser des atouts régaliens pour l’établissement, ce qui pourrait entraîner des problématiques de confidentialité et de concurrence
Gouvernance des données : pilier de l’efficacité
Sans gouvernance solide, pas d’agilité. La mise en place de politiques claires (data catalog, rôles définis, qualité des données) permet :
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Un meilleur pilotage des activités,
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Une fiabilité accrue des indicateurs,
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Une réduction significative des erreurs et redondances.
📌 L’exemple de la Caisse d’Épargne Aquitaine Poitou-Charentes, accompagnée par Thélio, illustre bien cette réalité : en remplaçant 175 liens intranet par un tableau de bord unique et interactif, elle a gagné en sérénité décisionnelle et en performance métier.
Une culture data pour tous
Adopter une culture data-driven, c’est fédérer les équipes autour d’un langage commun.
Cela passe par :
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Des formations continues,
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Une UX design intuitive,
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Des outils de data visualisation impactants.
Quand chaque collaborateur peut comprendre, interpréter et agir sur la base de données fiables, l’efficacité opérationnelle s’installe durablement.
L’IA et le cloud : les nouveaux accélérateurs
Demain, l’IA ne sera plus un luxe, mais un standard.
Elle permettra d’aller au-delà du reporting pour entrer dans une logique prescriptive : proposer la bonne action, au bon moment, avec le bon niveau de personnalisation. Le cloud, quant à lui, offre la scalabilité nécessaire à cette ambition – à condition de rester souverain, sécurisé… et éco-responsable
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